02 septembre 2007

Picasso




ce matin , alors que je relisais le magnifique livre de Pablo Néruda « J’avoue que j’ai vécu » , j’ai retenu cette phrase : « Picasso dont la bonté est aussi grande que le génie » .
Je savais bien que j’étais dans le vrai…
Pour avoir défendu Picasso de la vindicte populaire lors d’un diner, cela m’a causé 5 ans de « brouille « .
Vive Picasso !

« …C’est le début de l’été. Un jour, un inconnu entre dans sa galerie. Il est curieusement accoutré. Drôle d’allure. Ses cheveux sont d’un noir de jais, un noir luisant comme de la lignite fibreuse et dure.
Mais son regard, également sombre, est profond, mystérieux.Il irradie son visage. Silencieux, attentif, il regarde les tableaux un à un puis s’en va. Il n’a pas desserré les dents. » …
C’est la première rencontre de Picasso et Kahnweiler en 1907, date de la création de «Les Demoiselles d’Avignon »…
Ps: en photo: Ma dernière terre cuite:"Miss Gardénia". h=70 cm , présentée sur une table en mosaique , créée dans les années 90 par mon amie artiste , Annick Boiron .